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Loire-Atlantique : sa cigarette électronique lui explose dans la main
MIS À JOUR : 17-05-2015 19:29 - -CRÉÉ : 17-05-2015 08:17
L’amour a les mêmes effets que l'alcool sur notre cerveau
Publié le 25/05/2015 à 12:08, Mis à jour le 25/05/2015 à 12:11
Actu Santé
L’expression « L’ivresse de l’amour » a finalement une véritable portée scientifique ! Selon une récente étude publiée dans la revue Neuroscience and Biobehavioral Reviews, l’amour aurait les mêmes effets que l’alcool sur le cerveau. C’est l’ocytocine, l’hormone de l’amour, du plaisir et du lien social, qui serait en cause.
« Alcool et ocytocine semblent cibler différents récepteurs du cerveau, mais causent des actions communes sur la transmission du GABA dans le cortex préfrontal et les structures limbiques. Ces circuits neuronaux contrôlent la façon dont nous percevons le stress ou l’anxiété, en particulier dans des situations sociales comme des entretiens ou peut-être même quand on a le courage de demander un rendez-vous à quelqu’un » explique un co-auteur de l’étude, le Dr Ian Mitchell. L’amour, comme l’alcool, peut provoquer la générosité et l’empathie mais aussi l’agressivité, la jalousie, le repli sur soi, à cause d’un effet désinhibant.
Malgré ses effets similaires, l’ocytocine de l’amour ne devrait pas servir d’alternative à l’alcool pour soigner les personnes qui ont cette addiction. Par contre, elle pourrait être utilisée comme un traitement pour certains problèmes psychologiques et psychiatriques.
ladepeche.fr
Douanes : le nombre de saisies bondit de 36%
Journée mondiale sans tabac : la France mauvaise élève
par Marina Cabiten, France Bleu
Dimanche 31 mai 2015 à 11h58
Avec 32% de fumeurs, la France est au-dessus de la moyenne européenne pour l'année 2014, selon une étude publiée à l'occasion de la Journée mondiale sans tabac ce dimanche.
Le tabagisme a légèrement reculé en 2014 dans l'Union européenne, avec 26% de fumeurs contre 28% en 2012, selon une enquête Eurobaromètre publiée en vue de la Journée mondiale sans tabac de ce dimanche. La France est au-dessus de cette moyenne, avec 32% de fumeurs.
La cigarette électronique gagne du terrain
Pour en savoir plus :
http://www.francebleu.fr/infos/tabagisme/journee-mondiale-sans-tabac-la-france-mauvaise-eleve-2395837
Alcool : entre publicité et santé publique, la loi Evin fait débat
Publié le 11/06/2015 à 14:18, Mis à jour
Actu Santé
Dans le cadre du projet de loi Macron, les députés ont voté cette nuit un amendement à la loi Evin. Contre l’avis du gouvernement, ils remettent en cause les fondements de ce texte encadrant, depuis 1991, la visibilité de l’alcool dans la publicité. Pour Jean-Pierre Couteron, psychologue et président de la Fédération Addiction, cet amendement risque de « freiner la lutte contre la consommation excessive et la dépendance à l’alcool ». Mais la loi Macron n’est pas encore votée, l’amendement n’est donc pas officiel à ce jour.
Depuis 1991, année du vote de la loi Evin, la publicité pour l’alcool est strictement encadrée. En 2005, le texte a évolué. Depuis cette date, les noms de terroir et les images de vigne peuvent par exemple apparaître sur les écrans et les affiches publicitaires. En revanche les messages valorisant de manière explicite la consommation sont toujours bannis.
SANTE
Le texte distingue information et publicité sur l'alcool...
Publicité pour l'alcool: Ce que pourrait changer l'amendement à la loi Evin
Publié le 11.06.2015 à 14:23
Mis à jour le 11.06.2015 à 14:23
Une publicité pour l’alcool à la télévision ? C’est un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, mais les choses pourraient bientôt changer. Les députés ont modifié dans la nuit de mercredi à jeudi la loi Evin, en refusant de revenir sur un amendement du Sénat distinguant information et publicité sur l’alcool, et ce contre l'avis du gouvernement.
« Détricoter la loi Evin »
« Le vote de cette nuit est un coup dur porté à la santé publique. Je regrette que la loi Macron serve à détricoter la loi Evin », a déclaré ce jeudi la ministre de la Santé, Marisol Touraine, qui souhaite que « la suite du débat parlementaire permette de rétablir la loi Evin ». « On ne doit pas pouvoir parler d’un produit (l’alcool) qui a un effet néfaste sur la santé publique (…) comme on parlerait de produits de consommation courante », s’est insurgé sur BFMTV Claude Evin, qui a porté le texte en 1991.
http://www.20minutes.fr/sante/1629131-20150611-publicite-alcool-pourrait-changer-amendement-loi-evin
La loi Évin, du nom de son auteur Claude Évin (ou loi du 10 janvier 1991 relative à la lutte contre le tabagisme et l'alcoolisme), lutte contre le tabagisme en établissant le principe d'une interdiction de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif, ainsi que dans les lieux collectifs de transport. Concernant l'alcool, elle limite fortement le droit de faire de la publicité pour les boissons alcoolisées afin de protéger les jeunes des opérations de marketing.
Une Union au régime sec ?
Le Monde | 06.05.2015 à 12h50 | Par Arnaud Leparmentier
Le Parlement européen a voté, le 29 avril, une belle résolution contre la consommation excessive d’alcool. Pas parce qu’il enivre, provoque des cancers, provoque des lésions sur les fœtus, entraîne la maltraitance des enfants. Non, parce qu’il fait… grossir. Les eurodéputés veulent que la Commission force enfin les fabricants de boissons alcooliques à indiquer, comme pour tout aliment, la teneur en calories de 100 millilitres de breuvage et sa composition.
L’obésité, voilà tout le mal. Le Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC) se réjouit de l’initiative des députés : « Un grand verre de vin contient autant de calories qu’une barre chocolatée », explique Pauline Constant, du BEUC – qui est parti au combat contre l’épidémie d’obésité en Europe.
Sacrés eurodéputés. Ils sont dignes d’Eliot Ness, qui finit par faire tomber le parrain de la pègre de Chicago Al Capone pour fraude fiscale. L’alcool fait grossir, voilà comment nous allons éradiquer ce fléau. Les parlementaires de Strasbourg n’ont pas tort. Nous sommes tous de grands ivrognes. « La consommation d’alcool en Europe est la plus élevée du monde », déplore l’Organisation mondiale de la santé : 11,8 litres d’alcool pur par habitant en France, 11,2 en Allemagne. Pire que les Polonais (10,9) et surtout que les très modérés Italiens (6,5). On finirait par envier les pays « secs » tels le Pakistan, l’Arabie saoudite ou le Bangladesh.
http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/05/06/une-union-au-regime-sec_4628700_3214.html
De plus en plus de cas de burn-out au travail
Publié le 12/06/2015 à 07:43, Mis à jour le 12/06/2015 à 08:41
Les Toulousains sont-ils de plus en plus victimes du fameux burn-out ? Présents sur le salon Préventica qui s'est clôturé hier soir, les docteurs Soulat et Benichoux décryptent ce phénomène.
Fatigue, stress, surmenage, anxiété, usure psychologique… le spectre du burn-out rôde peut-être autour de vous…
Méconnue au début des années 2000, cette maladie touche de plus en plus de salariés français. À tel point que les spécialistes du genre se multiplient partout dans l'Hexagone. Pourtant peu de personnes en connaissent vraiment les symptômes… «Ils varient en fonction des individus. Cependant certains signes reviennent fréquemment. Le premier est un épuisement physique et émotionnel, le second une dépersonnalisation du malade. C'est-à-dire que le patient se sent seul, il s'isole. Enfin, le troisième est l'absence totale d'émotions. Un cynisme poussé à son paroxysme», analyse le docteur Florence Benichoux, cofondatrice de Better-Human, une société spécialisée dans la prévention des burn-out.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/12/2123297-plus-plus-cas-burn-out-travail.htmll
Un test en ligne pour savoir si vous êtes alcoolique
Publié le 12/06/2015 à 09:37, Mis à jour le 12/06/2015 à 09:39
L’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) vient de mettre au point un test en ligne pour permettre à tout individu d’estimer sa consommation d’alcool et les risques de dépendance qui en découlent. Un alcoomètre d’un genre nouveau disponible sur le site Alcool Info Service.
L'alcool, un moyen de "décompresser" pour les étudiants
Publié le 23/06/2015 à 15:41
AFP) - Une majorité d'étudiants consomment régulièrement de l'alcool, avec des amis ou en soirée, dont la moitié affirme que c'est pour "décompresser", selon un sondage publié mardi.
Réalisé par Opinionway pour le compte de la SMEREP (Sécu étudiante et mutuelle), le sondage note que l'alcool est le produit psychoactif le plus consommé devant le tabac et le cannabis par des étudiants qui se déclarent souvent stressés et déprimés.
L'âge des premières consommations oscille aux environs de 15 ans, mais la quantité ingérée augmente ensuite chez près d'un tiers des consommateurs, tout en restant stable chez un autre tiers. Au total, près de 7 étudiants sur 10 indiquent consommer plus ou moins régulièrement de l'alcool.
L'automédication reste moins développée en France que la moyenne européenne
Publié le 23/06/2015 à 17:09
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(AFP) - L'automédication en France reste moins développée que dans la plupart des pays européens, a affirmé mardi l'Afipa, l'association des industriels français du secteur, qui appelle à s'inspirer de l'exemple de l'Espagne qui a largement étendu le champ des médicaments sans ordonnance.
"Nous sommes surpris de voir qu'il n'y a aucune volonté politique en France de développer l'automédication alors que c'est le cas dans tous les autres pays", a déclaré le président de l'Afipa, Pascal Brossard, en présentant à la presse l'édition 2015 du "baromètre européen" de l'automédication.
La souffrance psychique au travail ne cesse d’augmenter
Publié le 23/06/2015 à 08:15, Mis à jour le 23/06/2015 à 08:16
Depuis 2007, la part des salariés victimes de souffrances psychiques causées ou aggravées par le travail est en hausse constante. Et les femmes seraient deux fois plus concernées que les hommes. Problème, il n’existe pas à ce jour de tableau de maladie professionnelle permettant sa réparation au sein des différents régimes de sécurité sociale. C’est ce qui ressort de la dernière livraison du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) publié ce 23 juin.
Après les affections de l’appareil locomoteur (troubles musculo-squelettiques…), la souffrance psychique causée ou aggravée par le travail est le deuxième groupe pathologique le plus souvent signalé.
Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, la souffrance psychique au travail ne se limite pas au très médiatisé burnout, que l’on pourrait traduire par « épuisement professionnel ». La réalité est bien plus complexe et diversifiée. Ainsi trouve-t-on également des épisodes dépressifs (légers ou sévères), des troubles du sommeil, des conduites addictives…