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Burn-out : comment éviter les rechutes ?

Publié le 02/02/2016 à 15:50, Mis à jour le 02/02/2016 à 15:54

 

Le burn-out épuise littéralement ses victime : si elles veulent s’en sortir, elles doivent cesser toute activité professionnelle. Une fois remises, elles peuvent envisager un retour progressif vers l’emploi. Mais attention, sous certaines conditions.

 

Spécialiste du burn-out, le Dr François Baumann a listé les facteurs susceptibles de favoriser la réapparition de ce syndrome d’épuisement professionnel. Les patients doivent y être particulièrement attentifs s’ls veulent pouvoir reprendre sereinement le chemin du travail. Pour y parvenir, ils peuvent continuer de se faire aider par leur médecin généraliste, leur médecin du travail, un psychiatre et/ou un psychothérapeute, une assistante sociale…

 

Les principales erreurs à éviter

 

  • Retravailler trop tôt. Se sentant mieux sous l’effet des traitements et du repos, certains patients insistent pour retravailler avant la fin de leur arrêt maladie. Or il faut respecter le temps de « cicatrisation » nécessaire et se fier à l’avis du médecin. L’un des ressorts de la maladie réside en effet dans la difficulté d’appréciation par la personne atteinte du niveau de sa pathologie ;

 

  • Retomber dans le déni. Les victimes du burn-out ont naturellement tendance à aimer le travail et à éprouver le besoin de se rendre utile aux autres, en recherchant de façon constante leur reconnaissance et leur respect. Elles se sentent donc facilement obligées de dire oui à tout. Pourquoi ? C’est ce qu’elles doivent chercher à savoir. La période de repos forcé qui suit le burn-out est, entre autre, destinée à approfondir cette réflexion et à l’associer à la prise de décisions adéquates ;

 

  • Sous-estimer l’importance des loisirs. Un premier burn-out fait généralement prendre conscience du danger que représente l’abandon total des activités extra-professionnelles. Mais chassez le naturel, il revient au galop… Même si ce n’est pas dans leur tempérament, les patients doivent donc se forcer à prendre du temps pour eux, à travers des activités sportives et culturelles. Les loisirs sont en effet d’indispensables dérivatifs au surmenage et au stress.

 

DestinationSante

 

http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/02/2268844-burn-out-comment-prevenir-les-rechutes.html

 

Les étudiants consommateurs d'alcool, de tabac ou de drogues entrent plus tôt dans leur vie sexuelle

Publié le 12/02/2016 à 11:58

Actu Santé

 

En moyenne, les jeunes ont leur premier rapport sexuel à l'âge de 17 ans. Mais, d'après une vaste enquête EmeVia/CSA, publiée vendredi 12 février, les consommateurs de produits psychoactifs sont plus nombreux à avoir déjà tenté une expérience sexuelle.

 

85% des étudiants buveurs excessifs ont déjà démarré leur vie sexuelle, quand les non-buveurs ne sont que 48%. Le constat est encore plus probant pour les fumeurs de tabac, avec 91% de jeunes concernés. Les non-fumeurs, eux, ne sont que 66% à avoir déjà connu le sexe.

 

Cette étude constate le même effet en ce qui concerne les fumeurs de cannabis (92% contre 62% des non-consommateurs). "Une consommation quasi quotidienne de cannabis est déjà problématique. Or, des enquêtes montrent que le cannabis interagit avec les hormones sexuelles en diminuant, à long terme, les fonctions sexuelles", commente l'étude. 

 

En parallèle, l'enquête révèle que les étudiants entrent plus tardivement dans la vie sexuelle selon leur lieu de résidence.

Ceux qui habitent en logement Crous par exemple connaissent leur première expérience sexuelle à 17,4 ans, contre 16,8 ans pour les étudiants qui résident encore chez leurs parents.

 

EmeVia publie tous les deux ans une enquête santé réalisée auprès d'un échantillon de 44.269 étudiants.

RelaxNews

 

http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/12/2275988-etudiants-consommateurs-alcool-tabac-drogues-entrent-plus-tot-vie-sexuelle.html

Cirrhose : une probable nouvelle cause découverte

Publié le 12/02/2016 à 12:16, Mis à jour le 12/02/2016 à 13:03

 

Certaines mauvaises bactéries de l’intestin ont été mises en cause dans l’apparition et l’aggravation des lésions provoquées par la maladie alcoolique du foie, selon des chercheurs américains. 

 

Des scientifiques de l’Université de San Diego (Californie) viennent de pointer du doigt une nouvelle cause, liée à la consommation régulière d’alcool, dans l’apparition de la cirrhose. Certaines bactéries intestinales fortement présentes en cas d’alcoolisme pourraient aggraver les lésions de la cirrhose. Leur étude a été relayée par le site Medical News Today.

 

Pour conduire cette étude, les chercheurs en gastrologie et physiopathologie ont observé deux types de souris : - 1 premier groupe fabriquant des "lectines", les protéines "REG3B" et "REG3G" fabriqué par l’intestin pour détruire les mauvaises bactéries, comme des antibiotiques naturels.- 1 deuxième groupe ne fabriquant pas de "lectines".

 

Lire l'intégralité de l'article sur Medisite

A Montgeron, mise en place d'une cantine scolaire dans une école primaire où l'alcool est interdit pour les moins de 14 ans.

 

https://www.ina.fr/video/AFE85007072

Loi Santé

Cannabis au volant : des tests salivaires sans "cause préalable"

par Marion Guérin

La loi Santé a modifié les conditions de dépistage des stupéfiants au volant. Des tests salivaires pourront être exigés, même en l'absence d'infraction.

Publié le 01.02.2016 à 13h38

 

La loi santé est entrée en vigueur, et avec elle, de multiples articles passés sans bruit ni tapage, l’attention étant concentrée sur des mesures phare telles que le tiers payant ou encore le paquet neutre.

Pourtant, certaines dispositions vont changer la vie quotidienne des Français. C’est le cas de l’article 45 de la loi « de modernisation de notre système de santé », qui modifie les conditions de dépistage des stupéfiants sur la route, rappelle Drogues Info Service.

 

Le dépistage sans « cause préalable »

 

Désormais, même en l’absence d’infraction, les conducteurs pourront être soumis à des tests salivaires de dépistage de stupéfiants. « Les forces de police peuvent procéder à ces tests, même en l'absence d'accident de la circulation, d'infraction ou de raisons plausibles de soupçonner un usage de stupéfiants », précise le site d’information.

La police n’aura donc plus besoin d’une « cause préalable » pour tester les conducteurs. Ce nouveau régime rapproche les autres stupéfiants de l’alcool, dont le dépistage routier repose sur la même règle. « Cette nouveauté élargit considérablement les possibilités de faire pratiquer un test de dépistage à un conducteur », explique Drogues Info Service. Théoriquement, le nombre de contrôles pourrait exploser.
 

L’analyse des tests simplifiée

 

Jusqu’à présent, un dépistage positif de stupéfiants sur le bord de la route devait être devait être confirmé par une analyse sanguine. Or, désormais, en cas de résultats positif, les forces de police pourront procéder à un second prélèvement de salive qu’ils enverront dans un laboratoire d’analyses toxicologiques.

Cette seconde analyse salivaire permettra de déterminer s’il y a des traces de stupéfiants ou non. Cette nouveauté a vocation à simplifier les démarches policières, puisqu’elle évitera au conducteur de se déplacer à l’hôpital pour un prélèvement sanguin. La procédure de dépistage des stupéfiants sur la route s’en trouvera ainsi facilitée.

Si des traces de stupéfiants sont retrouvées, le conducteur sera poursuivi pour « conduite en ayant fait usage de stupéfiants » et encourra deux ans de prison, 4 500 euros d’amende, la perte de 6 points sur son permis de conduire ainsi que des peines complémentaires, rappelle encore Drpgues Info Service.

 

http://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/13966-Cannabis-au-volant-des-tests-salivaires-sans-cause-prealable

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